Aujourd'hui, c'est la Journée mondiale de la vie sauvage, une date mise en place par les Nations unies en 2013 pour lutter contre le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction et plus largement contre la disparation de nombreuses espèces qui habitent, comme nous, la planète bleue.
C'est aussi et surtout l’occasion de réfléchir au moyen de protéger les espèces en voie de disparation comme l'éléphant d’Afrique ou le rhinocéros. Cette année, le thème de la journée est "Le futur de la vie sauvage est entre nos mains".
Car sans parler de ces malheureuses icônes des espèces menacées, tout le monde peut agir localement pour protéger la faune et la flore, pour que les générations futures puissent aussi avoir la chance de voir ces animaux autrement que dans des musées ou dans des zoos.
Par exemple, comme nous en parlions il y a quelques jours, les villes peuvent agir pour protéger les abeilles,
Le high-tech aussi a un rôle à jouer ! Drone de surveillance, recyclage de smartphone pour lutter contre la déforestation. Mais il faut surtout sensibiliser le public avec des films comme Demain, les Saisons, et bien d'autres... comme les chroniques écologiques du Professeur Feuillage qui comme dans l'épisode ci-dessous balaie, avec humour, les croyances autour du loup. Car ce sont ces mythes qui ont fait disparaître le loup de notre pays.
Dans le cas des rhinocéros par exemple, leurs disparitions est uniquement lié à la vente de leur corne. Cornes qui se revendent plus cher que l'or simplement parce qu'une croyance leur octroie des propriétés médicinales. Résultat, il ne reste plus que trois rhinocéros blancs du Nord dans le monde